Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

VIP-Blog de dlr14eme_62

Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont -  Carvin
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

1269 articles publiés
dans cette catégorie
858 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

Garçon (71 ans)
Origine : Carvin
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]

Hadopi : touché - coulé !

09/04/2009 15:37

Hadopi : touché - coulé !


COMMUNIQUE DE PRESSE

Rejet de l’Hadopi : le gouvernement pris à son propre piège

En faisant voter à la sauvette, sans scrutin public, le projet de loi HADOPI, le gouvernement a essuyé un rejet comme on reçoit un boomerang : il s’est pris à son propre piège et ce n’est que justice.
Je suis fier d’avoir fait parti des 21 députés qui ont repoussé ce texte en séance. C’est une bonne nouvelle pour tous ceux qui sont attachés à la liberté d’internet, comme à la dignité du Parlement.
Malgré ses dénégations d’une parfaite mauvaise foi et au lieu de s’escrimer à faire passer en force ce texte rétrograde et inapplicable, le gouvernement ferait mieux de comprendre pourquoi tant de députés UMP et NC ont traîné des pieds pour se rendre aujourd’hui dans l’hémicycle.
Après l’échec de la DADVSI, voté d’ailleurs dans les mêmes conditions rocambolesques il y a trois ans, après le camouflet d’aujourd’hui, il revient au gouvernement d’ouvrir enfin des états généraux permettant de réconcilier internet et le droit des auteurs.
Il appartient à tous les défenseurs de l’internet libre, quant à eux, d’unir leurs efforts pour le dissuader d’opérer au Parlement un passage en force dans quelques semaines.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





Hadopi : Lettre ouverte aux Parlementaires pour rejeter le projet.

08/04/2009 16:06

Hadopi : Lettre ouverte aux Parlementaires pour rejeter le projet.


Le 8 Avril 2009

Cher(e) Collègue
Notre assemblée s’apprête à se prononcer sur le projet de loi « Création et Internet » visant à lutter contre le téléchargement illégal d’œuvres culturelles.
Comme vous le savez, cette loi a été coécrite par les acteurs économiques du secteur sous le patronage du Président de la République, ainsi que l’a rappelé notre collègue et rapporteur du projet Franck Riester dans Le Figaro du 9 mars dernier : « Le député-maire de Coulommiers rappelle que ce projet est le fruit d’un accord entre professionnels de la culture et d’Internet signé en novembre 2007 sous l’égide de l’Élysée ».
Or si ce projet a fait l’objet d’un consensus total entre les centristes, les socialistes et l’UMP au Sénat, il n’en va pas de même dans notre Assemblée, où au sein même de la majorité des dissensions se font entendre.
En effet, même si ce texte ne fait pas la une du « 20 heures » il suscite sur Internet - et non pas seulement sur les seuls sites spécialisés - un vigoureux débat, largement en sa défaveur.
Comment pourrait-il en être autrement ?
A l’heure où les Français sont appelés à faire de nombreux sacrifices, le gouvernement nous engage à traiter en urgence une affaire dont je n’hésiterai pas à dire qu’elle est très secondaire dans le contexte économique et social que nous vivons.
« … pitoyable résultat d’une connivence passagère entre des hommes politiques, de gauche comme de droite, toujours soucieux de s’attirer les bonnes grâces d’artistes vieillissants, et des chefs d’entreprises bien contents de protéger leurs profits », voilà ce qu’en dit Jacques Attali, dans un billet du 9 mars dernier sur son blog.
Et Jacques Attali, qui n’est pas un dangereux gauchiste et qu’on ne peut soupçonner d’être un anarchiste libertaire, a raison !
Hors des considérations à propos de la place de la culture sur Internet et de la juste rémunération des artistes, questions essentielles que la procédure d’urgence nous empêche d’aborder dans la sérénité d’une sérieuse délibération parlementaire, c’est le contenu de ce texte qui est de nature à alimenter la défiance entre les hommes politiques et leurs concitoyens, en particulier les jeunes.
Il est dommage que l’on n’ait pas tiré les leçons de l’échec de DADVSI. On peut se tromper une fois, il est beaucoup moins défendable de commettre une erreur à chaque fois.
Ouvrir la voie à la surveillance généralisée, instaurer une forme de justice d’exception privée, systématiser l’installation de logiciels espions sur les ordinateurs des citoyens, voilà la colonne vertébrale de ce projet transformant l’Internet français en Internet chinois.
Imaginez la réaction des 18 millions de titulaires de connexions ADSL lorsque leur fournisseur d’accès leur demandera, si d’aventure ce texte est voté, d’installer un logiciel filtrant, listant les sites qu’ils sont autorisés ou non à consulter !
De surcroît, les artistes ne seront pas protégés par cette loi qui ne leur rapportera pas un centime de plus. En vérité, ce texte n’a pour but qu’une très illusoire protection pour les majors. Illusoire, car les parades tant techniques (brouillage, cryptage, usurpation d’IP,…) que simplement physiques (échanges sur de simples clés USB) sont déjà exploitées par les internautes ce qui rend, de fait, ce texte obsolète et donc inutile. Sa seule utilité sera d’alimenter la légitime défiance des Français à l’encontre de ceux qui l’auront promu, c’est-à-dire les parlementaires qui l’auront voté pour le compte de quelque gros intérêts.
Depuis des années, je me bats avec nombre de nos collègues issus de tous les bancs de l’Hémicycle pour la seule solution durablement viable, à même de concilier à la fois liberté des internautes, développement de la culture et protection des auteurs, la fameuse licence globale. Car au lieu de prétendre s’attaquer à chaque échange de fichier, il serait plus judicieux de prélever une somme sur chaque abonnement haut débit alimentant un fonds dont le produit serait directement distribué aux artistes.
On vous a dit et répété depuis près de cinq ans qu’un tel système n’est techniquement pas possible : la mise en œuvre d’outils techniques visant à réprimer individuellement les internautes prouve à l’évidence le contraire, à tout le moins la pertinence d’études de faisabilité sérieuses que les autorités publiques ne pourront pas éternellement éluder.
Voilà pourquoi, en conscience, je me permets aujourd’hui de m’adresser à vous, afin de vous exhorter à rejeter ce projet.
Je vous prie de croire, Cher(e) Collègue, à l’assurance de mes sentiments les meilleurs.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN
Député de l’Essonne
Président de Debout la République





Turquie : Sarkozy et Villiers dans un concours de tartufferie

07/04/2009 00:01

Turquie : Sarkozy et Villiers dans un concours de tartufferie


Malgré l’euphorie née de l’élection de Barack Obama, il a été dit et répété que le nouvel hôte de la Maison blanche n’en défendrait pas moins d’abord les intérêts de son pays. A juste titre…
Hier, dans la droite ligne de W. Bush et de ses prédécesseurs, le président Obama a tout naturellement livré un plaidoyer de plus pour l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne qui, en l’état des traités, ne peut que provoquer la paralysie voire l’explosion de cette dernière.
Bref, les Etats-Unis aiment l’Europe, mais l’Europe à genoux, de sorte qu’ils pourront indéfiniment compter sur sa docilité dans les échanges commerciaux comme dans la stratégie diplomatique et militaire. A cet égard, la réincorporation de la France dans le commandement militaire intégré d’une OTAN sans rôle ni raison d’être clairement définis, a dû être une « divine surprise » pour le nouveau président américain.
A l’approche des élections européennes, la résurgence de la question turque a par ricochet donné lieu à de bien curieuses passes d’armes médiatiques entre Nicolas Sarkozy et Philippe de Villiers, qui semblent l’un et l’autre soucieux de mettre en scène une espèce de rivalité dans l’opposition à l’entrée d’Ankara dans l’Europe. Comme s’ils avaient quelques petites choses à faire oublier…
Car, oui, des petites choses, il y en a ! Ainsi, le président de la République n’a cessé ces dernières années de clamer son hostilité à l’adhésion turque, usant et abusant des arguments sérieux qui, en effet, s’y opposent. Mais le problème, c’est que les actes n’ont pas suivi, c’est bien le moins qu’on puisse dire !
Alors qu’il demandait la suspension de toutes les négociations d’adhésion quelques mois avant l’élection présidentielle, depuis son installation à l’Elysée le nouvel hôte de l’Elysée a ouvert… plusieurs nouveaux chapitres de négociation avec les Turcs. Il a également imposé le traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée par le référendum souverain, un traité qui, de l’aveu même d’Angela Merkel, est la clé institutionnelle de l’adhésion turque. Enfin, il a supprimé l’obligation de référendum pour l’adhésion de nouveaux pays candidats à l’UE, faisant échouer tout amendement qui l’aurait maintenu pour des pays au peuplement important (j’avais moi-même défendu à l’Assemblée le seuil de 10 millions d’habitants), preuve que c’était bien l’obstacle à l’entrée turque qu’il voulait lever (mâtinée, peut-être, de sa profonde détestation pour le référendum). Bref, sur la Turquie, comme sur Gandrange ou l’Afghanistan, les actes ne cessent de contredire le discours…
Le brutal changement de cap de Philippe de Villiers à l’égard de son ami de l’Elysée ne fait pas davantage illusion : inerte lors du coup de force parlementaire de Lisbonne en février 2008, habitué des visites à l’Elysée, se présentant lui-même comme le « flotteur droit » de la majorité présidentielle, affilié pour les élections de juin à une organisation favorable à l’entrée de la Turquie en Europe, Philippe de Villiers s’en prend tout à coup à Nicolas Sarkozy avec vigueur. Décidément, les élections européennes approchent…
Au-delà de ces affrontements factices, faits pour amuser la galerie, abuser les Français et conserver des places, le danger de l’adhésion turque reste, lui, entier. DLR le combat invariablement depuis plus de 5 ans. C’est aussi pour garantir aux Français l’existence d’une voie sans équivoque sur ce dossier que nous nous sommes, loin des Tartuffes en tout genre, engagés dans les élections européennes.
NDA



Commentaire de cimares (07/04/2009 07:40) :

Signalé: mon appel sur le blog d'Alain Alpern !


Commentaire de DLR1 (canal historique) (07/04/2009 13:49) :

Cher Cimarés, je suis entièrement dans votre option, mais je ne puis décider seul, une initiative ou un contact des autres nommés me semble une des conditions préalables à cette rencontre !





Villepin : "le soixantième anniversaire de l’Otan cache mal les doutes sur son avenir."

06/04/2009 23:59

Villepin :


Assumons notre devoir d’indépendance

Le Figaro Par Dominique de Villepin jeudi 2 avril 2009

À Strasbourg et à Kehl, le soixantième anniversaire de l’Otan cache mal les doutes sur son avenir. Pourtant le président de la République a choisi de faire revenir notre pays dans le commandement intégré. Il y a là une réelle rupture, alors que la France avait acquis une situation originale dans l’Otan, « un pied dedans, un pied dehors ». Ainsi depuis 1995, elle défendait ses intérêts et pesait sur la conduite des opérations, comme au Kosovo, tout en participant à trente-six des trente-huit comités et à toutes les missions.
Cette rupture est d’autant plus forte qu’elle tourne le dos à un héritage historique et à un consensus national. Est-elle opportune ?
Elle intervient à contretemps car, après la tentation unilatérale américaine, il s’agit aujourd’hui de construire un monde multipolaire pour faire face aux nombreux défis - prolifération nucléaire, terrorisme, crises régionales enlisées -, aggravés par la crise économique mondiale. Elle est à contresens, car c’est l’Europe de la défense qui est notre avenir. C’est de l’affirmation d’une volonté européenne commune qu’ont résulté les avancées, de la déclaration de Saint-Malo en 1998 à la stratégie européenne de sécurité.
Elle est à contre-emploi, car il y a une originalité française qui s’enracine dans son histoire, dans sa présence outre-mer, dans son message universel. Elle nourrit sa vocation de trait d’union entre le Nord et le Sud, entre l’Est et l’Ouest, mettant sa voix au service du dialogue des cultures et de la paix.
En définitive, cette décision va à rebours de l’histoire, car l’Otan est la réponse d’hier, occidentale et militaire, aux défis de demain. Cette réintégration n’est pas sans risques, chèque en blanc signé à une Otan en quête d’un rôle et d’une légitimité, tentée par la fuite en avant. Elle est source de dangers, quand elle incarne une « famille occidentale » qui cristallise les rejets et réveille les logiques de blocs antagonistes, au risque de donner corps au « choc des civilisations ».
Elle est source de blocages, quand elle bride les progrès d’une meilleure gouvernance en matière de sécurité. Substitut commode mais pernicieux, elle tend à empiéter sur de nombreux domaines comme la cybercriminalité, la sécurité des mers et la prolifération. Elle est source de distorsions, quand elle prend l’allure d’une « ONU bis », sans limites et sans vision claire, ayant la tentation de s’étendre à toutes les démocraties du globe et de se voir déléguer la gestion des crises internationales.
Dès lors, cette décision doit être comprise comme un triple pari sur l’avenir. Premier pari : la réintégration permettra de renforcer l’Europe de la défense. Mais certaines réticences britanniques, turques ou est-européennes, comme la lourdeur des procédures de non-dédoublement des opérations entre Otan et Union européenne la bloquent. Les occasions de mesurer les avancées possibles ne tarderont pas, qu’il s’agisse de l’État-major de planification, du développement de nos moyens d’intervention ou encore de l’Agence européenne de défense. Cela suppose aussi des efforts pour relever les crédits de défense. Deuxième pari : la France sera à même de « codiriger » l’Otan. La tutelle américaine y reste lourde. Les postes attribués à la France, sans impact opérationnel réel, ne changent pas la donne.
Codiriger, c’est accepter d’être coresponsable de tous les choix, jusqu’à la logique de blocs et la militarisation du règlement des conflits, qui conduit à leur enlisement. En Afghanistan, nous devons tirer les leçons de l’Irak et faire prévaloir notre vision d’une solution politique. Codiriger, c’est aussi peut-être lâcher la proie pour l’ombre. Ne bridons pas cette liberté d’action et de parole qui permettait à la France, en 2003, de poser la question de la légitimité de l’intervention en Irak et d’empêcher le vote d’une résolution aux Nations unies. Paradoxalement, la règle du consensus, si elle nous laisse libres quant aux modalités, tend à nous contraindre sur le fond.
Troisième pari : l’Otan sera capable de changer pour s’adapter à la multipolarité. En contrepoint d’une mécanique militaire lourde, la prééminence du dialogue politique doit être affirmée. L’Amérique de Barack Obama donne des signaux encourageants. Mais un vrai débat doit avoir lieu sur la modernisation de l’organisation, sur l’installation du bouclier antimissile ou sur l’adhésion de l’Ukraine et de la Géorgie. L’Otan doit s’engager dans une logique de partenariats équilibrés.
Assumons notre devoir d’indépendance en nous tournant résolument vers l’avenir. Partout, l’initiative est nécessaire pour défendre notre vision, nos intérêts et faire entendre la voix de la France. Aussi, dès maintenant, il nous appartient de proposer aux États de l’Union une conférence pour la relance de la défense européenne. De même, le moment venu, il faudra refonder, dans la clarté et l’égalité, les relations transatlantiques. La France doit rester vigilante et exigeante, fidèle à ses valeurs et à son ambition.





La grande catastrophe

03/04/2009 08:55

La grande catastrophe


Aujourd’hui c’est le sommet de l’OTAN à Strasbourg. Ce jour restera dans l’histoire de la France comme un jour marqué du sceau de l’infamie. Il est la résultante d’une trahison orchestrée par Nicolas Sarkozy avec la complicité des députés UMP et NC qui ont décidé la réintégration de la France dans cette pseudo alliance, sans consulter le peuple français.

 

 

Concrètement, cela change quoi pour la France  ? Outre la trahison envers la politique du plus grand chef d’état que la France a connu ces 50 dernières années, on peut craindre une catastrophique altération de l’image de marque de notre pays dans le monde. Interlocuteur privilégié du tiers monde, du monde arabo – musulman, de l’Afrique et de l’extrême Orient, la France jouissait jusqu’ici d’une image de nation libre, détachée des intérêts américains. Cette réintégration change la donne et désormais nous serons perçus comme des alliés incontournables de la politique américaine dans le monde.

 

 

J’entends de ci, de là, que cette intégration était obligatoire pour renforcer la défense Européenne. Pourtant, il était au départ question d’une politique de défense commune dans l’UE tirée par l’attelage Germano – Franco – Britannique, et non d’une intégration pleine et entière de l’UE dans le dispositif de défense de l’OTAN. Qui a le plus à gagner dans cette réintégration ? Les mêmes qui poussent l’UE à négocier l’entrée de la Turquie dans son union économique… Les mêmes qui ont perçu avant tout le monde que parmi les 26 états membres de l’OTAN, 21 étaient dans l’UE et qu’excepté eux même et le Canada, on pourrait y faire adhérer l’Islande, la Norvège et la Turquie afin de transformer cette alliance militaire en un formidable instrument de contrôle de la politique et de l’économie de l’UE. Oui, ceux qui ont le plus a gagner dans cette réintégration, c’est uniquement les USA. La France , outre quelle verra ses dépenses militaires exploser, au grand dam des contribuables, verra son prestige dégradée et le monde sera encore plus perdant car, à terme, ce sera vers un clash des civilisations que nous irons avec un OTAN représentant de l’Occident contre le reste du monde.

PW

 



Commentaire de Dup (03/04/2009 09:24) :

jours de deuil pour la France aujourd'hui


Commentaire de WP (03/04/2009 11:05) :

Je profite de ce blog avec l'autorisation du comité de rédaction pour annocer que nous recherchons des hommes et des femmes pour fonder une association de type loi 1901 qui rassemblerait toutes les personnes se reconnaissant dans le Gaullisme sur Hénin et environs. Nous désiront faire la promotion de ce mouvement qui transcende le clivage classique droite/gauche qui depuis toujours à tenu des politiques similaires amenant à la ruine de notre territoire. Il s'agirait d'organiser des groupes de travail et de reflexion sur la direction à suivre quand à la politique locale. Si ce projet vous intéresse, veuillez me contacter au 06/33/59/49/26. Merci de votre attention !





Début | Page précédente | 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact dlr14eme_62 ]

© VIP Blog - Signaler un abus